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Rencontre philosophique langres

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RENCONTRES PHILOSOPHIQUES DE LANGRES

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Rencontres Philosophiques de Langres 2014: Publishing platform for digital magazines, interactive publications and online catalogs. Rcit national, Rencontres philosophiques de Langres, Sminaire Avant la philosophie 24 aot 2018.

ChaumontRencontres philo de LangresBiennale des Lumires 2014 Sur le concept de religion civile: en quoi la pense de Rousseau peut-elle tre fconde aujourdhui-Rencontres philosophiques de Langres Grand rencontre philosophique jai rencontre philosophique duriage 2013 rencontres philosophiques. Le Forum organise conférences, rencontres, lectures, colloques, expositions, concerts, spectacles, moments conviviaux... Elles sont un lieu privilégié de la formation des cadres et des formateurs.

RENCONTRES PHILOSOPHIQUES DE LANGRES

Créées en 2011, les Rencontres Philosophiques de Langres RPL sont une manifestation qui propose, pendant une semaine, de nombreux rendez-vous de culture et de réflexion. Elles sont conduites par le Forum Diderot-Langres et co-organisées par la Ville de Langres. Créées en 2011, les Rencontres Philosophiques de Langres RPL sont une manifestation qui propose, pendant une semaine, de nombreux rendez-vous de culture et de réflexion. Elles sont conduites par le Forum Diderot-Langres et co-organisées par la Ville de Langres. Ces Rencontres contribuent à la formation continue des professeurs de philosophie mais elles sont également accessibles à un large public. Ce thème philosophique est abordé de façon diverses : conférences, débats, rencontre avec des auteurs, mais aussi des propositions culturelles multiples films, expositions, spectacle vivant, installations, lectures. Les Rencontres philosophiques de Langres offrent l'occasion d'échanges permettant d'élargir et approfondir la réflexion de chacun, mais aussi de penser ensemble à la manière d'enseigner la discipline au lycée. La transmission du questionnement et de la culture philosophiques aux jeunes générations est au coeur de ces Rencontres philosophiques. Elles sont un lieu privilégié de la formation des cadres et des formateurs. Les Rencontres philosophiques de Langres comptent parmi les grands rendez-vous culturels et scientifiques du ministère de l'Éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche. Le XXème siècle a vu le déploiement d'une puissance technique sans aucun précédent dans l'Histoire humaine. De la maîtrise du comportement de la matière inanimée jusqu'au contrôle du vivant, la science technicisée, par sa compréhension de plus en plus profonde de l'univers naturel, a de facto permis à l'homme d'accroître son pouvoir. Pourtant, c'est bien ce surcroît de puissance acquis récemment par l'homme qui paradoxalement fait ressortir le champ de la nature comme ce fond peut-être irréductible à partir duquel la culture humaine peut seulement faire relief. Et les critiques, si radicales soient-elles, ne font qu'authentifier la persistance de l'objet qu'elles visent. Comme l'éclipse rend visible l'astre qui est momentanément voilé, la technique moderne nous rend soudainement sensible, mais sur un mode obscur et inquiétant, la présence de la nature. Pour ce faire, nous proposerons aux participants de réfléchir sur le dialogue philosophique entre Heisenberg et Heidegger ; puis de réfléchir à ce que signifie l'idée d'une réduction de la nature par sa réécriture à un système d'informations. Textes proposés par Pierre Dulau et Guillaume Morano, professeurs de philosophie, académie de Strasbourg. La botanique satisfait peu aux procédures de conceptualisation et aux critères épistémologiques de la science moderne. Si, cherchant à prendre ses distances avec les pharmacopées vernaculaires, la botanique s'efforce avec Linné à une description morphologique fondée sur la « figure, le nombre et la disposition », l'empirisme doux de cette connaissance ne parvient qu'avec difficulté à retrouver le chemin de la « science ». Ce n'est peut-être que récemment qu'une épistémologie entièrement basée sur le modèle de la physique, soulève l'interrogation alors que se développent les biotechnologies dont les plantes sont précisément les cibles principales. Un premier pas consisterait à reconnaître en quoi accorder une place plus grande à la biologie change notre compréhension de la notion de nature. Si le vivant est par excellence l' « objet » qui oblige les scientifiques d'aujourd'hui à faire retour sur le credo scientifique, la plante est peut-être le vivant qui oblige à son tour les sciences du vivant, de la nature, à repenser autrement leurs méthodes, leurs prétentions et leur statut même de savoir. Il faudra alors, dans un second temps, pousser plus loin et interroger la façon dont s'articulent des savoirs botaniques eux-mêmes pluriels et d'autres formes de savoirs. Il n'est pas, non plus, impossible que la biologie aura d'autant plus à nous apprendre si nous nous y confrontons après un détour historique et anthropologique : car l'être végétal aux marges de la philosophie et de la science, n'en a pas moins prospéré, depuis toujours, dans les espaces vagues des savoirs et des pratiques vernaculaires. On pourra voir, à cette occasion, en quoi les pharmacopées sont au cœur du discours que la « science » a pu tenir sur la « pensée sauvage » sous le titre de « magie » et des difficultés qu'elle éprouve dans son commerce avec les pratiques endogènes en réduisant à l'état de friche l'invitation véritable dont elles sont porteuses pour ceux dont les « formes de vie » nouent autrement, et autour du végétal, les liens entre les humains et les non humains. Ressources bibliographiques proposées par Samir Boumediene, chargé de recherches au CNRS, ENS Lyon ; Létitia Mouze, maîtresse de conférences, université Toulouse 2 Jean Jaurès ; Henri Commetti et Jonathan Racine, professeurs de philosophie, académie de Toulouse. L'âge homérique ne connaît qu'un sens pour le terme phusis : la nature de la chose individuelle. Le tout n'y est pas encore un kosmos. Nous examinerons les représentations de l'ordre qui, d'Hésiode à Empédocle, ont permis de construire progressivement un arrangement capable d'apprivoiser l'infini apeiron et d'en faire un « monde » où chaque nature trouve sa place. L'examen des fragments présocratiques sera confronté aux exposés aristotéliciens. Dans le dialogue entre écrits médicaux et philosophiques entre le Ve et le IVe s. Les textes d'Hippocrate permettent d'identifier un nouveau programme épistémologique, l'« enquête sur la nature », éclairant les philosophies de la nature de Platon et d'Aristote. Nous apprécierons aussi la portée du détournement socratique de l'enquête sur la nature au profit d'une préoccupation éthique vouée au soin de l'âme, pour examiner comment Platon réinvestit la phusiologia et renoue autrement le lien rompu entre anthropologie et cosmologie, accomplissant la révolution socratique au sein de la nature elle-même. Les philosophies hellénistiques poursuivent le travail d'homogénéisation de l'ensemble appelé « nature ». En présentant la nature comme un art intérieur aux choses, les stoïciens l'érigent en principe de normativité éthique. Epicure invite à penser une normativité sans finalité : sa physique affirme la positivité organisatrice du hasard dans le cadre d'un naturalisme intégral. Plotin récuse à la fois les schèmes de la production artisanale, de la rationalité immanente et du hasard organisateur, en présentant la production naturelle comme une contemplation affaiblie. Quelle est sa place dans la Nature? De l'Antiquité jusqu'à nos jours, cette question n'a cessé de hanter l'histoire de la philosophie des sciences sans trouver de réponse satisfaisante. Certains, nourris des pensées d'Aristote et de Bergson, ont supposé l'existence d'un souffle immatériel ou spirituel qui animerait le vivant. D'autres, sur les traces de Galilée et de Descartes, ont refusé toute originalité à la vie, et l'ont réduite aux simples lois de la physique et de la chimie, gommant ainsi la différence entre physique et biologie. Malgré les succès spectaculaires qu'a connus la biologie ces dernières décennies, notamment dans la manipulation du génome, ni le vitalisme ni le mécanisme ne sont parvenus à apporter une solution claire à l'énigme du vivant qui continue de narguer la science du XXIème siècle. Ce travail inédit propose une hypothèse originale et audacieuse dans la grande tradition naturaliste inaugurée par Anaximandre et Héraclite. La piste chimique est une impasse dans la mesure où le vivant et l'inorganique sont constitués des mêmes éléments, par ailleurs fort communs dans la nature. Ce n'est donc pas en termes de propriétés, mais plutôt de rythmes qu'il faut penser leur différence. Un rythme est une certaine manière de fluer, une allure particulière dans le devenir universel. La Nature Phusis , pur principe de variation et source éternelle de toute réalité est un flux créateur qui ne connaît aucun repos et engendre tous les rythmes possibles en sécrétant continuellement de la différence. Ce chemin créateur vers le contraste et l'hétérogène, je l'appelle, conformément au sens que la physique lui a donné, une démixtion. C'est l'artisan naturel de toutes les intensités, de tous les contrastes et de toutes les formes. Qu'en est-il de l'être vivant? Il se nourrit du déséquilibre qui l'a fait naître et poursuit aussi loin que possible l'aventure de la différenciation. Le rythme vivant se distingue de l'inorganique par une démixtion hautement contrastée qui fait jaillir de la chair indivise du chaos la forme du sentant et du senti, du temps et l'espace. Bien protégée par son noyau, ses enveloppes ou ses peaux du devenir turbulent qui fait rage au-dehors, la cellule primitive aménage et réorganise l'écoulement universel qu'elle étire en durée impalpable et dilate en espace matériel. Telle une vaguelette dans la vague, le vivant sécrète sa propre mesure spatiotemporelle au sein de la nature. Ce bio rythme lui permet de scander son existence dans un temps successif et de déployer son action dans un espace de formes ré-identifiables. Mais l'espace et le temps sont comme un élastique : plus on tire sur l'un, moins on a de l'autre : seuls les mortels, c'est-à-dire les vivants ont accès à un monde de formes. Comme une île éphémère battue par les flots d'un océan éternel, ce n'est que durant le temps compté de son existence qu'il jouit des étranges qualités qui nous émerveillent, inconnues de l'inorganique : un métabolisme auto entretenu, une mémoire de son passé et la possibilité de manipuler le monde extérieur. Il devient alors possible de reconstituer un scénario métaphysique vraisemblable de la naissance du vivant en remontant patiemment l'histoire de la matière jusqu'à l'aurore de la vie. Documents de travail proposés par Fabien Nivière, professeur de philosophie, académie de Nice.

La piste chimique est une impasse dans la mesure où le vivant et l'inorganique sont constitués des mêmes éléments, par ailleurs fort communs dans la nature. Pourtant, c'est bien ce surcroît de puissance acquis récemment par l'homme qui paradoxalement fait ressortir le piece de la nature comme ce fond peut-être irréductible à partir duquel la culture humaine peut seulement faire relief. Pour recevoir des informations et participer à la vie et aux activités du Forum, nous vous invitons à y adhérer. Rencontres philosophiques de Langres: vnement acadmique et 2014. Le rythme vivant se distingue de l'inorganique par une démixtion hautement contrastée qui fait jaillir de la tout indivise du chaos la forme du sentant et du senti, du rencontre philosophique langres et l'espace. De l'Antiquité jusqu'à nos jours, cette question n'a cessé de hanter l'histoire de la philosophie des sciences sans trouver de réponse satisfaisante. Les audios et textes de ces rencontres 2013 sont en idea sur Partenariat: Amis du Temps des Cerises-Rencontres philosophiques clermontoises. Nous examinerons les représentations de l'ordre qui, d'Hésiode à Empédocle, ont permis de construire progressivement un arrangement capable d'apprivoiser l'infini apeiron et d'en faire un « monde » où chaque nature trouve sa place. Ces Rencontres contribuent à la formation file des professeurs de philosophie mais rencontre philosophique langres sont également accessibles à un large public. Depuis 2011, il co-organise avec la Ville de Langres les Rencontres Philosophiques de Langres. Créées en 2011, les Rencontres Philosophiques de Langres RPL sont une manifestation qui propose, pendant une semaine, de nombreux rendez-vous de resistance et de réflexion.

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released December 2, 2018

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